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ACTUALITES

Le monde change, la radio aussi

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L’UNESCO fera un rapport sur les médias autochtones libres et indépendants

L’Instance permanente des Nations Unies sur les questions autochtones (UNPFII) a invité à l’unanimité l’UNESCO à mener une étude sur les médias autochtones en partenariat avec les entités des Nations Unies et les peuples autochtones, et à faire rapport à sa session annuelle de 2025.

Les médias autochtones sont importants pour permettre la liberté d’expression de 478 millions d’Autochtones à travers le monde. Les médias autochtones enrichissent non seulement la société avec des nouvelles sur les questions autochtones, mais plus important encore, ils fournissent une plate-forme publique pour inclure les peuples autochtones dans les conversations publiques nationales. Les médias établis et gérés par les peuples autochtones peuvent donner accès à des informations opportunes et exactes, s’attaquer aux défis mondiaux tels que la pauvreté, les changements climatiques ou les crises sanitaires, et contribuer au dialogue pour la paix et la stabilité dans le monde.

Le développement des médias autochtones a été abordé lors d’une récente réunion des parties prenantes organisée par l’UNESCO le 18 avril 2023, en partenariat avec la Commission canadienne pour l’UNESCO, l’Association des journalistes amérindiens (NAJA) et Whakaata Māori (Māori Television), en marge de la 22Nd session de l’Instance permanente des Nations Unies sur les questions autochtones (UNPFII).

Le rapport de la réunion résume sept mesures pour le développement des médias autochtones :

  1. Promotion des droits de la personne par le fonctionnement efficace des médias autochtones

  2. Reconnaissance officielle et politiques médiatiques favorables

  3. Viabilité financière et accès aux ressources pour les médias autochtones

  4. Utilisation des médias numériques et production de contenu pertinents pour les peuples autochtones

  5. Se réapproprier le récit et sensibiliser la population aux questions autochtones

  6. Préparation des médias autochtones aux situations d’urgence et de crise

  7. Collaboration, partenariats et partage des connaissances entre les médias autochtones

L’UNESCO plaide également en faveur de l’inclusion des questions, des questions et des langues des peuples autochtones dans les médias grand public, qu’il s’agisse de médias privés ou publics.

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Amarc International se joint à l'appel lancé aux rapporteurs spéciaux de l'ONU pour qu'ils s'expriment sur le ciblage des journalistes et des médias en Palestine

Les membres de l'AMARC, de l'IFEX et des groupes de défense des droits de l'homme se joignent à l'appel du Centre MADA pour que l'ONU condamne le ciblage systématique par Israël des journalistes et des médias palestiniens

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L'AMARC présente au Forum Social Mondial de Katmandou 2024

This February 2024, the 16th World Social Forum is being held, on the theme “Another world is possible, now!". and “Communication, digital social networks and media".  It is organized by the consortium of associations and NGOs of Nepal and supported by the Government of Nepal. Several tens of thousands participants at the foot of the Himalayas. This is the first time that a sovereign state of this importance has supported the World Social Forum.

 

AMARC International, through its president Emmanuel Boutterin (France), welcomes this commitment and “thanks the organizers, as well as President Ram Chandra Paudel, the Government of Nepal and its Prime Minister, Pushpa Kamal Dahal for their support in this forum".  Since the birth of the World Social Forum in 2001 in Porto Alegre, Brazil, AMARC has taken its place in the debate on the media in a constructive and respectful approach, defending the local broadcasting is an alternative tool of freedom , peace, economic development and progress. With the progression of individual digital communication, AMARC will defend the complementarity and necessity of local, democratic and responsible media

Novembre 2023, Mali : Un journaliste tué, deux autres kidnappés

Le journaliste Abdoul Aziz Djibrilla de Naata Radio a été attaqué et tué par des hommes armés non identifiés sur  7 novembre sur la route Gao-Ansongo au nord du Mali. Deux autres journalistes ont été kidnappés. La Fédération Internationale des Journalistes (FIJ) se joint à son affilié, l’Union Nationale des Journalistes du Mali (UNAJOM) pour condamner cette attaque barbare infligée à des journalistes qui ne représentent aucun danger pour personne.

 

Abdoul Aziz Djibrilla, animateur de la radio Naata à Labbezanga, se rendait à une séance d'entraînement à Gao avec d'autres collègues lorsque sa voiture a été arrêtée sur la route par des hommes armés non identifiés. Djibrilla a été tué tandis que les journalistes Saleck Ag Jiddou et Moustapha Koné ont été kidnappés et qu'un troisième journaliste, Harouna Attino, a été blessé.

 

La route Gao-Ansongo est considérée comme l’une des routes les plus dangereuses du nord du Mali, car elle est souvent empruntée par les combattants de l’État islamique du Sahel (EI) qui opèrent dans la région.

Les enlèvements de journalistes au Mali sont devenus une grave source de préoccupation. Birama Touré, reporter de l'hebdomadaire d'investigation Le Sphnix, a été manquant depuis 2016 tandis que les journalistes Hamadoun Nialibouly et Moussa Bana Dicko (Radio Dande Haire) étaient kidnappé dans la région de Mopti en 2020.

 

Suite à l'assassinat d'Abdoul Aziz Djibrilla et à l'enlèvement de Saleck Ag Jiddou et Moustapha Kone, les radios de la région de Gao ont organisé une « Journée sans radio » et ont délibérément interrompu leurs émissions le mercredi 8 novembre pour protester contre l'assassinat et l'enlèvement. de leurs collègues. 

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La Colombie envisage d'accorder 107 nouvelles licences à des radios communautaires

Les termes de l'appel pour l'activation des radios communautaires, réparties dans 24 départements, ont été soumis à consultation publique par le ministère des Technologies de l'information et de la communication (MinTIC).

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Date limite prolongée jusqu'au 4 juin : Appel à candidatures pour le Prix UNESCO de l'éducation des Filles et des femmes 2023

Le Prix UNESCO pour l’éducation des filles et des femmes récompense les contributions innovantes et exceptionnelles d’individus, d’institutions et d’organisations en faveur de l’éducation des filles et des femmes.

 

Il s’agit du premier Prix UNESCO de ce type, qui jouera un rôle unique pour mettre en valeur les projets fructueux qui encouragent et améliorent les perspectives d’éducation des filles et des femmes et, par conséquent, leur qualité de vie.

Financé par le Gouvernement de la République populaire de Chine, le Prix est remis chaque année à deux lauréats, qui recevront un montant de 50 000 dollars des États-Unis chacun afin de poursuivre leurs travaux.

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